quarta-feira, 2 de março de 2016

História desconhecida

Selon l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye, les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption © DR

Si les noirs musulmans et les Amazighs connaissaient leur vraie histoire seraient-ils encore musulmans ?



Comment les noirs africains et les Amazighens peuvent-ils être si fiers d’afficher leur appartenance à l’islam et qui se veulent de surcroît plus arabes que les arabes eux-mêmes, comme un esclave s’identifiant à son maître tout heureux de porter les chaînes de leur état d’asservissement éternel ?
Ces êtres formatés, lobotomisés, dépouillés de leur âme, endoctrinés et en proie à l’obscurantisme se rendent pas compte qu’en procédant de la sorte  ils absolvent de leurs crimes les négriers et génocidaires arabo-musulmans pour lesquels ils ne leur ont jamais demandé pardon et dont eux mêmes portent encore les séquelles et qui sont la cause première des maux qui les gangrènent et les tourmentent et qui sont autant de freins à leur développement humain et économique.
Les noirs ne savent pas que l’islam avait érigé l’esclavagisme en une monstrueuse institution mercantile pendant 14 siècles qui serait toujours en vigueur dans certains pays musulmans ni le Coran qui autorise  explicitement la traite négrière et la prise d’esclaves comme butin ou rétribution.

Ce noir tant méprisé et discriminé par les arabes du Golf persique et d’Arabie qu’ils appellent Abid, esclaves. Même le grand Ibn Khaldoun y était aussi de sa tirade anti-noire. L’éminent historien médiéval et philosophe social musulman, écrivait : « Les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage, parce qu’ils sont des attributs tout à fait voisins à ceux d’animaux stupides. »
Des dizaines de millions de leurs aïeux vendus comme un vulgaire bétail, castrés, massacrés, humiliés, les traitant comme des animaux sauvages, troqués en Inde comme contre les épices.
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